J’ai trouvé ma maison de maître dans le Vaucluse !
Le film Renoir est sorti en 2013 et j’avais 17 ans. Je suis tombée amoureuse de ce film, surtout parce que j’ai toujours aimé la vie artistique de cette famille. J’ai notamment été fascinée par les décors du film, dont la maison qui reflétait une certaine façon de vivre : celle du Sud de la France. En effet, se lever avec un grand ciel bleu qui laisse passer toute la journée les rayons chauds et lumineux du soleil n’est le quotidien que d’une minorité de Français. Je suis née à Lyon et j’ai toujours vécu dans cette région, sauf pendant mes deux années de master que j’ai choisi de réaliser à Nice. Comment ne pas tomber amoureuse de la Provence ? Je me suis alors juré de trouver un travail bien rémunéré pour m’offrir le décor de mes rêves comme dans Renoir : une maison de maître dans le Vaucluse.
Un rêve de mon adolescence
Je travaille dans le domaine de la publicité depuis une dizaine d’années. J’aime mon travail, parce que mes responsables et mes collègues me permettent d’exprimer toute ma créativité. Je savais depuis mon adolescence que je voulais exercer un métier créatif. De fait, j’ai toujours aimé lire, écrire, dessiner, peindre : j’ai l’âme (ou la fibre comme dirait ma maman) artistique.
Cependant, j’ai toujours vécu en appartement et un espace extérieur privatif me manquait pour me poser tranquillement dans l’herbe sans être dérangée. Ainsi, j’ai décidé d’économiser au fil des années, surtout pour que j’habite enfin dans le bien de mes rêves : une maison de maitre Vaucluse.
Et ma réalité d’adulte
L’été dernier, j’ai donc posé mes valises pendant 3 semaines chez une amie sudiste pour commencer mes recherches. Face à la multitude de biens, j’ai néanmoins rapidement décidé de faire appel à une agence immobilière de luxe : G – IMMOBILIER de PRESTIGE.
Je peux dès à présent vous dire que j’ai été enchantée et notamment satisfaite de l’implication de mon agent immobilier, qui grâce à son travail, m’a trouvé ma maison de maître dont j’ai signé le compromis de vente deux jours avant mon programmé retour. Comme vous l’avez certainement deviné, j’habite à présent dans cette demeure que je ne suis pas prête de quitter !
